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Réclamer sa puissance féminine

J’ai envie de pleurer.

Et en même temps j’ai envie de crier.

Je ressens la colère… et en même temps la libération.

« Enfin ».

J’ai passé ma vie dans le rôle de la petite fille sage.

Celle qui sourit.

Celle qui fait plaisir aux autres.

Celle qui ne fait pas de vagues.

Celle qui a pris l’habitude d’être ce que le monde extérieur attend d’elle qu’elle soit.

Ce week-end, j’ai ressenti ma puissance.

I mean, I really FELT it.

Dans mes tripes.

J’ai découvert cette part de moi que je n’avais jamais laissé sortir avant.

Parce qu’elle me fait peur.

Parce que je ne sais pas être autrement que la petite fille sage.

J’ai toujours été la lumière et le côté plus « sombre » (aka inconnu) me fait peur.

Les personnes qui m’attirent le plus sont aussi celles que je rejette le plus.

Les personnes qui m’attirent le plus sont cette version de moi que j’ai peur de devenir.

Free. Self-Expressed.

Ce matin, je me suis réveillée et j’ai découvert que j’avais mes règles.

9 jours d’avance, ce qui ne m’est jamais arrivé.

Et même si je ne sais pas exactement ce que ça signifie, je sais que ce n’est pas anodin.

Hier, j’ai redécouvert les photos prises lors de mon shooting avec @laurineplouvierselflove.

reclamer sa puissance féminine

Et aujourd’hui, en publier quelques unes felt like a reclamation of my power.

« Pas sage » : passage.

Le passage de la fille à la Femme.

La Femme Libre. Libérée. Sensuelle. Divine.

It is time to own all of me.

The dark included.

Et si tu lis ces mots, j’espère qu’ils t’inspireront à observer cette part de toi qui ne demande qu’à se révéler.

Le monde mérite de voir toutes les facettes de toi.

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